Le romantisme en Provence
Exposition jusqu’au 30 janvier 2021
Musée Provençal du Costume et du Bijou
2 rue Jean Ossola
06130 Grasse
https://usines-parfum.fragonard.com/musees/le-musee-du-costume/
(pour 4 à 6 personnes)
Beurrer le moule à gâteau et le chemiser de papier sulfurisé.
Passer sous l'eau les fruits et bien les égoutter.
Dans un saladier mélanger le sucre avec les œufs puis rajouter le beurre ramolli ainsi que le sucre vanillé.
Incorporer la brousse, le lait concentré et la farine tamisée,
Bien mélanger le tout.
Verser cet appareil dans le moule à gâteau puis rajouter les fruits.
Faire cuire à 180° pendant 30 minutes (selon le four. Vérifier la cuisson à l'aide d'un couteau).
Servir accompagné de crème anglaise, d'un coulis de fruits ou bien de la chantilly.
Contacter Sylvie, pour les réservations du repas de midi auprès du restaurant.
(Tél. 06.76.68.71.50)
A découvrir cet été, le Musée Provençal du Costume et du Bijou à Grasse consacre une exposition au courant romantique dans la mode provençale ; une déambulation rythmée par les silhouettes provençales mises en scène dans les anciens salons du magnifique Hôtel de Clapiers Cabris. L’exposition explore la première moitié du XIXe siècle où bijoux, costumes, accessoires, tendances, influences et attitudes sont empreints du romantisme littéraire, artistique mais aussi social de l’époque.
Le romantisme qui débute à la fin du XVIIIe siècle en Allemagne, avant de se développer en France, trouve son apogée dans les premières décennies du XIXe siècle. Cette période chargée en bouleversements politiques et sociaux fait naître une mosaïque extraordinaire de costumes. La restauration des Bourbons sur le trône permet aux Provençales d’afficher à nouveau leur attachement à la monarchie et l’on voit refleurir les énormes parures de bijoux de l’Ancien Régime sur les jeunes filles. Plusieurs silhouettes présentées illustrent le goût pour la nature et les fleurs dans des formes nouvelles. Les marchandes de mode et les ateliers de couture rivalisent d’ingéniosité pour donner le ton des tendances de demain.
Musée du Costume et du Bijou
2 rue Jean Ossola
06130 Grasse
A quelques pas de l’Usine Historique
Parking Indigo à proximité
(https://usines-parfum.fragonard.com/romantisme-en-provence-7692/)
Pour se rafraichir, une boisson désaltérante et pétillante : le Kéfir.
Facile à réaliser soi-même,
Voici la recette :
100 gr de sucre roux,
100 gr de graines de kéfir
1/2 citron, 2 figues sèches,
1,5 l d'eau de source
Mettre tous les ingrédients dans un bocal
Laisser fermenter pendant 48 h à température ambiante
(les figues et le citron vont monter à la surface)
Retirer le citron et les figues, puis filtrer, mettre en bouteille et laisser à nouveau reposer
pendant 48 h avant de mettre au réfrigérateur
Rincer les graines de kéfir et les conserver dans un bocal au réfrigérateur :
elles se régénèrent au fur et à mesure qu'on les utilise.
Attention pour filtrer utiliser uniquement du matériel en matière plastique.
Merci à Nicole (France Boutis) pour mes premières graines de kéfir...
Malgré la chaleur, Fiorella, avance, avance....
Son ouvrage cousu avec des fils de couleurs pour bien mettre en valeur le vase avec ses fleurs
prend "tournure" . Nous avons hâte de le voir terminé...
Voici quelques pochettes réalisées par le groupe, avec les conseils de Sylvie
de jolies couleurs de ruban qui mettent en valeur les motifs
ainsi que l'initiale centrale.
Ici celles encore en cours
Quelques perles viennent parfois agrémenter le travail de broderie
1 kg d'oignons,
2 kg de tomates,
500 gr de piments,
Huile d'olive,
Persil,
Sel, thym frais, laurier, ail,
Piment d'Espelette,
4 œufs,
2 tranches de jambon de Bayonne.
Monder les tomates, les couper en quartiers et les laisser dégorger dans une passoire.
Fendre les piments en deux, les épépiner et les couper en tronçons de 4 à 5 cm.
Dans un faitout, faire fondre les oignons dans l'huile d'olive, à mi-cuisson y ajouter les piments.
Faire revenir 15 minutes puis ajouter les tomates et les aromates et laisser compoter à feu doux,
Cuire le temps nécessaire pour obtenir une sauce assez épaisse mais pas sèche, ça va dépendre des tomates.... il est bien d'y bien retrouver les légumes cuits mais qui se tiennent un peu, ce n'est pas pas un coulis....
En fin de cuisson, rectifier le sel si nécessaire, ajouter le piment d'Espelette selon le goût et le sucre pour ôter l'acidité, là encore tout dépend des tomates.
Faire poêler le jambon et frire un œuf par personne.
Disposer dans l'assiette la piperade poser dessus le jambon ainsi que l’œuf.
Un bel article paru dans :
L’actualité locale et internationale pour les expatriés français et les francophones
De tous temps, Marseille a tenu une position commerciale en France et en Europe. A partir du XVIème siècle, son port constitue un des points d'arrivée des marchandises en provenance d’Orient et d’Asie, mais aussi un centre de distribution de ces marchandises en Europe. C’est ainsi que le coton sous toutes ses formes (ballots à filer et toiles brutes et imprimées) fait son apparition en France et en Europe et les cotonnades imprimées aux couleurs éclatantes que l’on appelle alors les indiennes deviennent un objet de convoitise. Suite à une pénurie des arrivages de cotonnades, la ville de Marseille se lance alors dans la production locale de ces tissus imprimés.
Isabelle Corréard, de l’association Duppata, nous raconte comment les Marseillais acquièrent les compétences pour produire les cotonnades indiennes qui sont à l'origine du tissu provençal.
L’histoire de l’impression textile commence en Inde. Les artisans indiens ont mis en effet des milliers d’années à inventer des techniques ingénieuses permettant de fixer des teintes éclatantes sur le coton, utilisant des formules chimiques complexes que la science moderne n’est toujours pas parvenue à élucider complètement. Un des centres anciens des techniques d’impression sur tissu est Machilipatnam, ville portuaire et centre de production textile situé sur la côte sud-est de l’Inde dans l’Etat de l'Andhra-Pradesh.
Mon tailleur m’a dit que les gens de qualité portaient le matin une robe de chambre en indienne (…)
Mr Jourdain dans Le bourgeois Gentilhomme de Molière
De nos jours, le terme "indienne" évoque plutôt des cotonnades bon marché ou des motifs floraux recherchés, mais, du XVIème siècle au début du XIXème siècle, l’indienne est un tissu de luxe aux couleurs et aux motifs inédits. Ces indiennes sont exportées par terre et par mer vers l’Asie et l’Afrique depuis au moins le Moyen Âge, puis ensuite vers l’Europe qui ne représentait qu’un petit marché. Selon des spécialistes, depuis au moins le VIIIème siècle de notre ère, l’Afrique et l’Asie, notamment, l’Égypte, la Thaïlande, l’Iran, le Japon et l’Indonésie, recherchaient avec avidité les cotonnades indiennes et ont, de ce fait, influencé les répertoires de motifs des artisans indiens.
Indienne "Le Grand Corail", musée du textile de Wesserling, Alsace, France
L’impression des motifs des tissus provençaux est faite avec la même technique que les “indiennes” : on grave un motif sur une planche de bois et on applique la planche de bois dont la face gravée a été trempée dans de la teinture sur la toile préalablement préparée. Le tissu est ensuite lavé, séché et préparé pour la couleur et le motif suivant. Les dessins sont pour certains inspirés des motifs orientaux comme la palmette ou boteh en hindi que l’on appelle souvent impression cachemire en France et “qui font dire aux Français que les Indiens ont copié le dessin provençal,” confie Isabelle Corréard.
Indienneur imprimant un tissu à la main
L’histoire de l’indiennage est intimement liée à celle du matelassage et de la broderie au boutis. Selon un spécialiste des tissus anciens, Serge Liagre, chaque fois que l’indienne est apparue dans une culture, elle a toujours été associée au travail de piqûre et de matelassage, que ce soit en Inde, en Perse, en Angleterre avec les quilts, ou en France avec la broderie de Marseille. En Provence, les cotonnades indiennes furent utilisées pour réaliser le boutis, un assemblage de deux toiles de coton maintenues entre elles par des broderies formant des motifs. Le jupon en boutis devint rapidement incontournable, ce vêtement, réservé à la noblesse, se démocratisa et toutes les jeunes Provençales, tant en ville qu'à la campagne, le mirent dans leur trousseau de mariage.
Jupon piqué en coton d'indienne du XVIIIème siècle au musée d'histoire de Marseille- Wikipedia @Rvalette
Une autre tradition prit racine, celle du pétassou en boutis destiné au nouveau-né. Cette pièce carrée avait pour fonction de protéger les vêtements de la personne qui portait le bébé. Le pétassou ressemble beaucoup aux couvertures indiennes pour nouveaux-nés brodées selon la technique du Kantha avec des restes de tissus de saris ou dhotis.
Couverture de nouveau-né en "broderie Kantha"
Dès le XVIème siècle, les navires chargés des produits arrivant d’Orient et d’Asie accostent à Marseille et y déchargent leurs marchandises qui sont ensuite acheminées dans le pays et en Europe. Contrairement à Lorient qui est le port d'arrivée de la route maritime faisant le tour du continent africain, Marseille est le point d'arrivée de la route semi-terrestre en provenance d’Inde et de Chine : les cargaisons sont acheminées par la route jusqu’en Turquie et traversent ensuite la mer Méditerranée pour rejoindre la France. En chemin, les convois chargent des produits des régions traversées (Isffahan, Diyarbakir, Constantinople, Smyrne et Alep) comme les toiles imprimées de Diyarbakir en Turquie.
Cotonnade de Diyarbakir - @villa-rosemaine
Le coton est importé d’Inde et d’Asie sous sa forme brute de ballots à filer, mais aussi sous la forme de toiles brutes et de tissus imprimés. Ce sont ces derniers qui sont appelés à l'époque les cotonnades indiennes ou même les “indiennes”. “Le coton, auparavant inconnu, est très prisé en Provence pour sa légèreté et sa fraîcheur et les cotonnades indiennes aux couleurs vives sont appréciées,” affirme Isabelle Corréard. "Avant son importation, les vêtements étaient faits de lin, de chanvre ou de laine chez les pauvres et de soie chez les plus aisés," précise-t-elle.
Cependant, au milieu du XVIIième siècle, différents événements et notamment l'épidémie de peste entraînent une pénurie des cotonnades indiennes et des teintures en provenance des comptoirs français en Inde et en Asie. “On racontait à l'époque que la peste était transportée d’Asie en Europe dans les ballots de coton,” confie Isabelle Corréard. “C’est un gros souci pour les négociants marseillais qui voient leur chiffre d’affaires s'écrouler,” ajoute-t-elle.
Les Marseillais décident de tenter de produire eux-mêmes les tissus imprimés qui se vendent si bien en Provence, mais aussi dans tout le pays et en Europe. La ville dispose des compétences artisanales de deux corps de métier qui sont capables de préparer les outils nécessaires à l’impression des motifs :
Affiche publicitaire des établissements Camoin fabricant de cartes à jouer vers 1880 - Wikipédia @Rvalette
La production démarre au milieu du XVIIème siècle, mais les artisans ne parviennent pas à produire des cotonnades de la qualité des indiennes : les couleurs ne tiennent pas et se fanent très rapidement au soleil de la Provence. “Ils leur manquent les compétences des artisans orientaux en matière de préparation du tissu, d’utilisation des teintures et surtout du mordançage qui permet de fixer les couleurs,” explique Isabelle Corréard.
Tampons utilisés pour l’impression des motifs block print dans le Rajasthan @Swapnil.Karambelkar
Dans le monde du XVIIème siècle, les Arméniens sont reconnus pour leurs compétences en matière de préparation des tissus, d’application des teintures et d’utilisation des techniques de lavage/séchage qu’ils ont apprises des artisans indiens.
Colbert, alors contrôleur général des finances du royaume sous Louis XIV, donne le statut de port franc à Marseille et permet ainsi à la ville de pratiquer importations et exportations sans taxes. D’autre part, dans un objectif de développer la fabrication des soieries et des lainages qui sont une des spécialités de la France, il fait venir des artisans arméniens à Marseille et demande à la ville de les intégrer en échange de leurs compétences en matière d’impression sur tissu. Originellement, les Arméniens devaient former les Marseillais dans l’impression de la soie, mais les artisans marseillais se sont servis de ces techniques pour l’impression sur la toile de coton et la production locale de cotonnades indiennes atteint la qualité requise.
Détail de la doublure d’un caraco - @villa-rosemaine
Cependant, face à l’engouement pour les cotonnades indiennes, les fabricants de soierie et lainages font pression sur le royaume pour sauvegarder leurs parts de marché et obtiennent en 1686 l’interdiction de vendre et de porter des cotonnades indiennes en France. Cette interdiction restera en place jusqu’en 1759. Les négociants marseillais contournent alors la loi en écoulant la production d’indiennes en Europe. La contrebande s’installe.
Détail d’un foulard provençal avec motif cachemire - @villa-rosemaine
Mais, les Marseillais obtiennent une dérogation pour l'utilisation du coton sous la forme de tissus d’ameublement à la condition qu’ils soient blancs et fabriqués à Marseille. C’est le développement du “piqué marseillais”, assemblage de deux épaisseurs de coton et d’une épaisseur de ouate maintenues ensemble par des piqûres au point droit classique puis du “boutis provençal”, une technique de broderie en relief. “Certains spécialistes textiles considèrent alors que cette technique provient aussi de l’Inde,” raconte Isabelle Corréard.
Vers 1790, Manufacture provençale, jupe piquée en indienne - @ villa-rosemaine
Cependant, la production de cotonnades indiennes ne se limita pas à la région de Marseille. Après l’interdiction de fabrication de 1686, certains producteurs se déplacèrent en Suisse puis vers l’Alsace et enfin en région parisienne à Jouy en Josas (toile de Jouy) et la fabrication d’indiennes se répandit en France et en Suisse.
En France, plusieurs musées du textile présentent des collections d’indiennes dont celui de Mulhouse ou celui de la toile de Jouy à Jouy en Josas. Une liste exhaustive des musées dans lesquels on peut voir des cotonnades indiennes anciennes est disponible sur le site de collectionneurs de textiles anciens : villa-rosemaine. (La plupart des photos de cet article sont extraites du très beau catalogue de l'exposition Indiennes sublimes organisée par la villa-rosemaine.)
Objet de luxe au XVII et XVIIIème siècles, le tissu provençal est devenu plutôt aujourd’hui un objet souvenir rapporté par les touristes. “La version traditionnelle est encore produite par deux sociétés, Souleiado et Olivades, mais ce sont quand même des produits de luxe,” avoue Isabelle Corréard.
Pour en savoir plus sur les indiennes, écouter l'émission de France Culture, Histoire du textile : Épisode 3 : L'importation et la consommation des indiennes en France du XVII au XIXe (à partir de la 9ème minute).
Exposition de boutis ou broderie de Marseille, peintures sur porcelaine, encadrement 3D et autres merveilles, le tout créations originales et manuelles.
Participation de l’association « lumière d’espoir » qui aide les populations rurales népalaises. Artisanat.
Horaire: vendredi, samedi, lundi, mardi de 15H30 à 18H .
dimanche de 10H à 12H et de 15H30 à 18H
Pour tout renseignement contacter
geralde.martin32@orange.fr +33 4 67 81 87 45
Deux petites communes situées au cœur des Cévennes : Bréau-et-Salagosse et Mars sont réunies depuis le 1er janvier 2019 avec un nouveau nom : Bréau-Mars.
Après avoir visité l'exposition à la salle polyvalente de l'Enclos, il ne faudra pas faire l'impasse sur ces deux villages oh combien charmants et profiter de l'occasion pour visiter :
à Bréau :
La Thébaïde, ancienne maison du peintre Harry Séguéla et le château de Bréau
à Mars :
La fontaine, l'ancien lavoir et le château
Bonne visite, bonne promenade, de plus l'accueil est au top !!!
A bientôt Géralde, rendez-vous pour nos prochaines rencontres à Pierrefeu-du-Var.
Et voici le dernier ouvrage de Chantal :
cette dernière a brodé un bien joli B avec des rubans très colorés et quelques perles
Ouvrage offert à sa sœur pour son anniversaire !!
Michelle a remis "au gout du jour" ce magnifique chemisier,
a repris les broderies qui s'étaient un peu abîmées, les dentelles des poignets
ainsi que les boutonnières
et le voilà comme neuf : une "restauration" des plus réussie !!
Lou liame ( le lien ) a été créé pendant le confinement par le groupe
de l'atelier langue
Nous l'avons relié et chaque "escoulans" a eu son petit livret
Merci à tous d 'avoir participé car écrire sur de nombreux sujets de
notre vie a été entre le groupe un grand lien mais aussi un travail
de rédaction et de correction
Mais nous avons souhaité le faire connaître aux Pierrefeucains et aux
touristes
Alors le voilà exposé à l'office du tourisme de Pierrefeu-du-Var
Un autre rendez-vous de l'été avec les enfants du centre aéré
accueillis par Sylvie et Thérèse dans la "Maison des Traditions"
Qui, après avoir expliqué nos traditions
Apprennent aux enfants à faire des bouteilles de lavande pour parfumer les armoires des mamans.
(Recette pour 8 personnes)
16 champignons assez gros
1 cébette
Huile d’olive
Sel et poivre
Nettoyer les champignons sans les laver.
Séparer les queues des têtes.
Enlever la peau.
Hacher finement les pieds.
Puis la cébette.
Mélanger les deux ingrédients.
Assaisonner avec l’huile, le sel et le poivre.
Farcir les têtes avec la préparation.
Servir sur un lit de roquette.
Les retrouvailles des vendredis de l'été !!!
Qui fait du boutis, de la broderie, du piqué marseillais
Que du bonheur de se retrouver enfin
et de pouvoir partager pour "de vrai" les avancées des différents ouvrages !!!
Le romantisme en Provence
Exposition jusqu’au 30 janvier 2021
Musée Provençal du Costume et du Bijou
2 rue Jean Ossola
06130 Grasse
https://usines-parfum.fragonard.com/musees/le-musee-du-costume/
"Lors des dernières Rencontres autour du Boutis j'ai acheté le kit "Les rosettes dans le boutis",
voilà j'ai essayé et le papillon peut s'envoler"
Si dans un premier temps, je ne savais pas trop ce qu'il allait devenir
après réflexion, le voilà sur une poubelle à fils
Très utile finalement plus de fil au sol!
Cette mousse se sert à l'apéritif (recette pour 8 personnes)
150 g de saumon fumé
1 C à S de raifort
1 C à C de zeste de citron
1 C à C de jus de citron
85 ml de crème épaisse
3 concombres
Poivre du moulin
Dans un mixeur (broyeur) mettre le saumon, le raifort, le zeste et le jus de citron.
Ajouter peu à peu la crème jusqu’à l’obtention d’une tartinade.
Éplucher les concombres et les découper en rondelles.
Façonner des rosaces à l'aide d'une douille sur chaque tranche de concombre.
Cette coiffe provençale a subi une transformation afin de remonter l'arrière qui retombait un peu trop, faute de moins de cheveux étant donné qu'ils sont courts.
Elle est tout aussi belle.
Cette transformation a nécessité beaucoup de travail pour tout démonter et remonter à l'identique !!
Mais quand la passion est là, on ne compte pas les heures .....