• Gâteau de fruits rouge dans sa brousse

    (pour 4 à 6 personnes)

    400 gr de brousse,
    4 gros œufs,
    120 gr de farine,
    1 boîte de lait concentré non sucré,
    80 gr de sucre roux,
    40 gr de beurre + 10 gr pour le plat,
    2 sachets de sucre vanillé,
    1 pincée de sel,
    450 gr de fruits rouges (myrtilles, framboises, fraises..),
    1 petit pot de griottes en bocal (100 à 200 gr).

     

    Beurrer le moule à gâteau et le chemiser de papier sulfurisé.

    Passer sous l'eau les fruits et bien les égoutter.

    Dans un saladier mélanger le sucre avec les œufs puis rajouter le beurre ramolli ainsi que le sucre vanillé.

    Incorporer la brousse, le lait concentré et la farine tamisée,

    Bien mélanger le tout.

    Verser cet appareil dans le moule à gâteau puis rajouter les fruits.

    Faire cuire à 180° pendant 30 minutes (selon le four. Vérifier la cuisson à l'aide d'un couteau).

    Servir accompagné de crème anglaise, d'un coulis de fruits ou bien de la chantilly.

     

     

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  •  

    Un aperçu des différents ouvrages

     

    et types de broderies 

     de nos vendredis de l'été

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  • Le jeudi 27 août 2020, les personnes intéressées par la  visite de l'exposition

    "Le Romantisme en Provence"

    au musée du costume à Grasse,

    pourront se retrouver à 8 h 30 au rond point de Cuers pour du covoiturage.

    Contacter Sylvie, pour les réservations du repas de midi auprès du restaurant.

    (Tél. 06.76.68.71.50)

     

    A découvrir cet été, le Musée Provençal du Costume et du Bijou à Grasse consacre une exposition au courant romantique dans la mode provençale ; une déambulation rythmée par les silhouettes provençales mises en scène dans les anciens salons du magnifique Hôtel de Clapiers Cabris. L’exposition explore la première moitié du XIXe siècle où bijoux, costumes, accessoires, tendances, influences et attitudes sont empreints du romantisme littéraire, artistique mais aussi social de l’époque.

    Le romantisme qui débute à la fin du XVIIIe siècle en Allemagne, avant de se développer en France, trouve son apogée dans les premières décennies du XIXe siècle. Cette période chargée en bouleversements politiques et sociaux fait naître une mosaïque extraordinaire de costumes. La restauration des Bourbons sur le trône permet aux Provençales d’afficher à nouveau leur attachement à la monarchie et l’on voit refleurir les énormes parures de bijoux de l’Ancien Régime sur les jeunes filles. Plusieurs silhouettes présentées illustrent le goût pour la nature et les fleurs dans des formes nouvelles. Les marchandes de mode et les ateliers de couture rivalisent d’ingéniosité pour donner le ton des tendances de demain.

    Musée du Costume et du Bijou
    2 rue Jean Ossola
    06130 Grasse
    A quelques pas de l’Usine Historique
    Parking Indigo à proximité

     

     (https://usines-parfum.fragonard.com/romantisme-en-provence-7692/)

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  •  Pour se rafraichir, une boisson désaltérante et pétillante : le Kéfir.

    Facile à réaliser soi-même,

    Le lien : le kéfir

    Voici la recette :

    100 gr de sucre roux,

    100 gr de graines de kéfir

    1/2 citron, 2 figues sèches,

    1,5 l d'eau de source

    Le lien : le kéfir

    Mettre tous les ingrédients dans un bocal

    Le lien : le kéfir

     Laisser fermenter pendant 48 h à température ambiante

    (les figues et le citron vont monter à la surface)

    Le lien : le kéfir

    Retirer le citron et les figues, puis filtrer, mettre en bouteille et laisser à nouveau reposer

    pendant 48 h avant de mettre au réfrigérateur

    Le lien : le kéfir

    Rincer les graines de kéfir et les conserver dans un bocal au réfrigérateur :

    elles se régénèrent au fur et à mesure qu'on les utilise.

    Attention pour filtrer utiliser uniquement du matériel en matière plastique.

    Merci à Nicole (France Boutis) pour mes premières graines de kéfir...

     

     

     

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  •  Malgré la chaleur, Fiorella, avance, avance....

    Son ouvrage cousu avec des fils de couleurs pour bien mettre en valeur le vase avec ses fleurs

    prend "tournure" . Nous avons hâte de le voir terminé...

     

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  •  Voici quelques pochettes réalisées par le groupe, avec les conseils de Sylvie

    de jolies couleurs de ruban qui mettent en valeur les motifs

    ainsi que l'initiale centrale.
     

    Ici celles encore en cours

    pochettes

     Quelques perles viennent parfois agrémenter le travail de broderie

    pochettes

     

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  •  

    20141011 133718

     

    1 kg d'oignons,

    2 kg de tomates,

    500 gr de piments,

    Huile d'olive,

    Persil,

    Sel, thym frais, laurier, ail,

    Piment d'Espelette,

    4 œufs,

    2 tranches de jambon de Bayonne.

     

    Monder les tomates, les couper en quartiers et les laisser dégorger dans une passoire.

    Fendre les piments en deux, les épépiner et les couper en tronçons de 4 à 5 cm.

    Dans un faitout, faire fondre les oignons dans l'huile d'olive, à mi-cuisson y ajouter les piments.

    Faire revenir 15 minutes puis ajouter les tomates et les aromates et laisser compoter à feu doux,  

    Cuire le temps nécessaire pour obtenir une sauce assez épaisse mais pas sèche, ça va dépendre des tomates.... il est bien d'y bien retrouver les légumes cuits mais qui se tiennent un peu, ce n'est pas pas un coulis....

     En fin de cuisson, rectifier le sel si nécessaire, ajouter le piment d'Espelette selon le goût et le sucre pour ôter l'acidité, là encore tout dépend des tomates.

     Faire poêler le jambon et frire un œuf par personne.  

    Disposer dans l'assiette la piperade poser dessus le jambon ainsi que l’œuf.

     

     

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  • Le saviez-vous : l'Inde est à l'origine du tissu provençal

    Par Isabelle Bonsignour | Publié le 04/08/2020 à 01:01 | Mis à jour le 04/08/2020 à 11:04
    Photo : @villa-rosemaine Inde provence tissu commerce

    De tous temps, Marseille a tenu une position commerciale en France et en Europe. A partir du XVIème siècle, son port constitue un des points d'arrivée des marchandises en provenance d’Orient et d’Asie, mais aussi un centre de distribution de ces marchandises en Europe. C’est ainsi que le coton sous toutes ses formes (ballots à filer et toiles brutes et imprimées) fait son apparition en France et en Europe et les cotonnades imprimées aux couleurs éclatantes que l’on appelle alors les indiennes deviennent un objet de convoitise. Suite à une pénurie des arrivages de cotonnades, la ville de Marseille se lance alors dans la production locale de ces tissus imprimés.

     

    Isabelle Corréard, de l’association Duppata, nous raconte comment les Marseillais acquièrent les compétences pour produire les cotonnades indiennes qui sont à l'origine du tissu provençal.


    Les cotonnades indiennes et le tissu provençal

    L’histoire de l’impression textile commence en Inde. Les artisans indiens ont mis en effet des milliers d’années à inventer des techniques ingénieuses permettant de fixer des teintes éclatantes sur le coton, utilisant des formules chimiques complexes que la science moderne n’est toujours pas parvenue à élucider complètement. Un des centres anciens des techniques d’impression sur tissu est Machilipatnam, ville portuaire et centre de production textile situé sur la côte sud-est de l’Inde dans l’Etat de l'Andhra-Pradesh.

    Mon tailleur m’a dit que les gens de qualité portaient le matin une robe de chambre en indienne (…) 

    Mr Jourdain dans Le bourgeois Gentilhomme de Molière

     

    De nos jours, le terme "indienne" évoque plutôt des cotonnades bon marché ou des motifs floraux recherchés, mais, du XVIème siècle au début du XIXème siècle, l’indienne est un tissu de luxe aux couleurs et aux motifs inédits. Ces indiennes sont exportées par terre et par mer vers l’Asie et l’Afrique depuis au moins le Moyen Âge, puis ensuite vers l’Europe qui ne représentait qu’un petit marché. Selon des spécialistes, depuis au moins le VIIIème siècle de notre ère, l’Afrique et l’Asie, notamment, l’Égypte, la Thaïlande, l’Iran, le Japon et l’Indonésie, recherchaient avec avidité les cotonnades indiennes et ont, de ce fait, influencé les répertoires de motifs des artisans indiens. 

     

    tissu provence inde impression textile

    Indienne "Le Grand Corail", musée du textile de Wesserling, Alsace, France

     

    L’impression des motifs des tissus provençaux est faite avec la même technique que les “indiennes” : on grave un motif sur une planche de bois et on applique la planche de bois dont la face gravée a été trempée dans de la teinture sur la toile préalablement préparée. Le tissu est ensuite lavé, séché et préparé pour la couleur et le motif suivant. Les dessins sont pour certains inspirés des motifs orientaux comme la palmette ou boteh en hindi que l’on appelle souvent impression cachemire en France et “qui font dire aux Français que les Indiens ont copié le dessin provençal,” confie Isabelle Corréard.

     

    tissu provence inde impression textile

    Indienneur imprimant un tissu à la main



    L’histoire de l’indiennage est intimement liée à celle du matelassage et de la broderie au boutis. Selon un spécialiste des tissus anciens, Serge Liagre, chaque fois que l’indienne est apparue dans une culture, elle a toujours été associée au travail de piqûre et de matelassage, que ce soit en Inde, en Perse, en Angleterre avec les quilts, ou en France avec la broderie de Marseille. En Provence, les cotonnades indiennes furent utilisées pour réaliser le boutis, un assemblage de deux toiles de coton maintenues entre elles par des broderies formant des motifs. Le jupon en boutis devint rapidement incontournable, ce vêtement, réservé à la noblesse, se démocratisa et toutes les jeunes Provençales, tant en ville qu'à la campagne, le mirent dans leur trousseau de mariage. 


     

    tissu provence inde impression textile

    Jupon piqué en coton d'indienne du XVIIIème siècle au musée d'histoire de Marseille- Wikipedia @Rvalette

     

    Une autre tradition prit racine, celle du pétassou en boutis destiné au nouveau-né. Cette pièce carrée avait pour fonction de protéger les vêtements de la personne qui portait le bébé. Le pétassou ressemble beaucoup aux couvertures indiennes pour nouveaux-nés brodées selon la technique du Kantha avec des restes de tissus de saris ou dhotis.


     

    tissu provence inde impression textile

    Couverture de nouveau-né en "broderie Kantha"



    A l’origine, Marseille est un des centres du commerce des cotonnades indiennes

    Dès le XVIème siècle, les navires chargés des produits arrivant d’Orient et d’Asie accostent à Marseille et y déchargent leurs marchandises qui sont ensuite acheminées dans le pays et en Europe. Contrairement à Lorient qui est le port d'arrivée de la route maritime faisant le tour du continent africain, Marseille est le point d'arrivée de la route semi-terrestre en provenance d’Inde et de Chine : les cargaisons sont acheminées par la route jusqu’en Turquie et traversent ensuite la mer Méditerranée pour rejoindre la France. En chemin, les convois chargent des produits des régions traversées (Isffahan, Diyarbakir, Constantinople, Smyrne et Alep) comme les toiles imprimées de Diyarbakir en Turquie. 

     

    tissu provence inde impression textile

    Cotonnade de Diyarbakir - @villa-rosemaine

     

    Le coton est importé d’Inde et d’Asie sous sa forme brute de ballots à filer, mais aussi sous la forme de toiles brutes et de tissus imprimés. Ce sont ces derniers qui sont appelés à l'époque les cotonnades indiennes ou même les “indiennes”. “Le coton, auparavant inconnu, est très prisé en Provence pour sa légèreté et sa fraîcheur et les cotonnades indiennes aux couleurs vives sont appréciées,” affirme Isabelle Corréard. "Avant son importation, les vêtements étaient faits de lin, de chanvre ou de laine chez les pauvres et de soie chez les plus aisés," précise-t-elle.

     

    Cependant, au milieu du XVIIième siècle, différents événements et notamment l'épidémie de peste entraînent une pénurie des cotonnades indiennes et des teintures en provenance des comptoirs français en Inde et en Asie. “On racontait à l'époque que la peste était transportée d’Asie en Europe dans les ballots de coton,” confie Isabelle Corréard. “C’est un gros souci pour les négociants marseillais qui voient leur chiffre d’affaires s'écrouler,” ajoute-t-elle.


    Marseille se lance sans grand succès dans la production des indiennes

    Les Marseillais décident de tenter de produire eux-mêmes les tissus imprimés qui se vendent si bien en Provence, mais aussi dans tout le pays et en Europe. La ville dispose des compétences artisanales de deux corps de métier qui sont capables de préparer les outils nécessaires à l’impression des motifs : 

    • les cartiers, qui fabriquent les cartes à jouer à partir de tampons et qui maîtrisent l'impression des motifs,
    • les graveurs sur bois, qui produisent les tampons de bois utilisés par les cartiers.


     

    tissu provence inde impression textile

    Affiche publicitaire des établissements Camoin fabricant de cartes à jouer vers 1880 - Wikipédia @Rvalette

     

    La production démarre au milieu du XVIIème siècle, mais les artisans ne parviennent pas à produire des cotonnades de la qualité des indiennes : les couleurs ne tiennent pas et se fanent très rapidement au soleil de la Provence. “Ils leur manquent les compétences des artisans orientaux en matière de préparation du tissu, d’utilisation des teintures et surtout du mordançage qui permet de fixer les couleurs,” explique Isabelle Corréard.


     

    tissu provence inde impression textile

    Tampons utilisés pour l’impression des motifs block print dans le Rajasthan @Swapnil.Karambelkar

     

    Grâce aux Arméniens, la qualité est enfin au rendez-vous

    Dans le monde du XVIIème siècle, les Arméniens sont reconnus pour leurs compétences en matière de préparation des tissus, d’application des teintures et d’utilisation des techniques de lavage/séchage qu’ils ont apprises des artisans indiens.

     

    tissu provence inde impression textile

     

    Colbert, alors contrôleur général des finances du royaume sous Louis XIV, donne le statut de port franc à Marseille et permet ainsi à la ville de pratiquer importations et exportations sans taxes. D’autre part, dans un objectif de développer la fabrication des soieries et des lainages qui sont une des spécialités de la France, il fait venir des artisans arméniens à Marseille et demande à la ville de les intégrer en échange de leurs compétences en matière d’impression sur tissu. Originellement, les Arméniens devaient former les Marseillais dans l’impression de la soie, mais les artisans marseillais se sont servis de ces techniques pour l’impression sur la toile de coton et la production locale de cotonnades indiennes atteint la qualité requise.

     

    tissu provence inde impression textile

    Détail de la doublure d’un caraco - @villa-rosemaine

     

    La France interdit la vente et l’utilisation des “indiennes”

    Cependant, face à l’engouement pour les cotonnades indiennes, les fabricants de soierie et lainages font pression sur le royaume pour sauvegarder leurs parts de marché et obtiennent en 1686 l’interdiction de vendre et de porter des cotonnades indiennes en France. Cette interdiction restera en place jusqu’en 1759. Les négociants marseillais contournent alors la loi en écoulant la production d’indiennes en Europe. La contrebande s’installe. 

     

    tissu provence inde impression textile

    Détail d’un foulard provençal avec motif cachemire - @villa-rosemaine

     

    Mais, les Marseillais obtiennent une dérogation pour l'utilisation du coton sous la forme de tissus d’ameublement à la condition qu’ils soient blancs et fabriqués à Marseille. C’est le développement du “piqué marseillais”, assemblage de deux épaisseurs de coton et d’une épaisseur de ouate maintenues ensemble par des piqûres au point droit classique puis du “boutis provençal”, une technique de broderie en relief. “Certains spécialistes textiles considèrent alors que cette technique provient aussi de l’Inde,” raconte Isabelle Corréard.


     

    tissu provence inde impression textile

    Vers 1790, Manufacture provençale, jupe piquée en indienne - @ villa-rosemaine

     

    Marseille exporte en Europe les tissus en piqué marseillais et boutis provençal. 

    Cependant, la production de cotonnades indiennes ne se limita pas à la région de Marseille. Après l’interdiction de fabrication de 1686, certains producteurs se déplacèrent en Suisse puis vers l’Alsace et enfin en région parisienne à Jouy en Josas (toile de Jouy) et la fabrication d’indiennes se répandit en France et en Suisse.

     

    En France, plusieurs musées du textile présentent des collections d’indiennes dont celui de Mulhouse ou celui de la toile de Jouy à Jouy en Josas. Une liste exhaustive des musées dans lesquels on peut voir des cotonnades indiennes anciennes est disponible sur le site de collectionneurs de textiles anciens : villa-rosemaine. (La plupart des photos de cet article sont extraites du très beau catalogue de l'exposition Indiennes sublimes organisée par la villa-rosemaine.)

     

    Objet de luxe au XVII et XVIIIème siècles, le tissu provençal est devenu plutôt aujourd’hui un objet souvenir rapporté par les touristes. “La version traditionnelle est encore produite par deux sociétés, Souleiado et Olivades, mais ce sont quand même des produits de luxe,” avoue Isabelle Corréard. 

     

    tissu provence inde impression textile

     


    Pour en savoir plus sur les indiennes, écouter l'émission de France Culture, Histoire du textile : Épisode 3 : L'importation et la consommation des indiennes en France du XVII au XIXe (à partir de la 9ème minute).

     

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  •  

    Exposition de boutis ou broderie de Marseille, peintures sur porcelaine, encadrement 3D et autres merveilles, le tout créations originales et manuelles.

    Participation de l’association « lumière d’espoir » qui aide les populations rurales népalaises. Artisanat.

     

    Une autre exposition à ne pas manquer

     

    Horaire: vendredi, samedi, lundi, mardi de 15H30 à 18H .

                 dimanche de 10H à 12H et de 15H30 à 18H

     Pour tout renseignement contacter

    geralde.martin32@orange.fr +33 4 67 81 87 45

     

    Deux petites communes situées au cœur des Cévennes : Bréau-et-Salagosse et Mars sont réunies depuis le 1er janvier 2019 avec un nouveau nom : Bréau-Mars.

     

    Après avoir visité l'exposition à la salle polyvalente de l'Enclos, il ne faudra pas faire l'impasse sur ces deux villages oh combien charmants et profiter de l'occasion pour visiter :

    à Bréau :


    La Thébaïde, ancienne maison du peintre Harry Séguéla et le château de Bréau

     

    à Mars :

    La fontaine, l'ancien lavoir et le château

     

    Bonne visite, bonne promenade, de plus l'accueil est au top !!!

    A bientôt Géralde, rendez-vous pour nos prochaines rencontres à Pierrefeu-du-Var.

     

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  •  Et voici le dernier ouvrage de Chantal :

    cette dernière a brodé un bien joli B avec des rubans très colorés et quelques  perles

    Ouvrage offert à sa sœur pour son anniversaire !!

     

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  •  Michelle a remis "au gout du jour" ce magnifique chemisier,

    a repris les broderies qui s'étaient un peu abîmées, les dentelles des poignets

     ainsi que les boutonnières

    et le voilà comme neuf : une "restauration" des plus réussie !!

     

     

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  • Lou liame ( le lien ) a été créé pendant le confinement par le groupe
    de l'atelier langue

    Nous l'avons relié et chaque "escoulans" a eu son petit livret

      

    Merci à tous d 'avoir participé car écrire sur de nombreux sujets de
    notre vie a été entre le groupe un grand lien  mais aussi un travail 
    de rédaction et de correction

      

    Mais nous avons souhaité  le faire connaître  aux Pierrefeucains et aux
    touristes
     

    Alors le voilà exposé à l'office du tourisme de Pierrefeu-du-Var

     

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  •  Un autre rendez-vous de l'été avec les enfants du centre aéré

     accueillis par Sylvie et Thérèse dans la "Maison des Traditions"

     Qui, après avoir expliqué nos traditions

    Apprennent aux enfants à faire des bouteilles de lavande pour parfumer les armoires des mamans.

     

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  •  

    Champignons farcis 2014

    (Recette pour 8 personnes)

     

    16 champignons assez gros

     1 cébette

     Huile d’olive

     Sel et poivre

     

     

    Nettoyer les champignons sans les laver.

    Séparer les queues des têtes.

    Enlever la peau.

    Hacher finement les pieds.

    Puis la cébette.

    Mélanger les deux ingrédients.

    Assaisonner avec l’huile, le sel et le poivre.

    Farcir les têtes avec la préparation.

    Servir sur un lit de roquette.

     

     

    Champignons farcis



     

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  •  Les retrouvailles des vendredis de l'été !!!

    Qui fait du boutis, de la broderie, du piqué marseillais

    Que du bonheur de se retrouver enfin

    et de pouvoir partager pour "de vrai" les avancées des différents ouvrages !!!

     

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  • Le romantisme en Provence au Musée Provençal du Costume et du Bijou

     

    Le romantisme en Provence
    Exposition jusqu’au 30 janvier 2021

    Musée Provençal du Costume et du Bijou
    2 rue Jean Ossola
    06130 Grasse

    https://usines-parfum.fragonard.com/musees/le-musee-du-costume/

     

     

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  •  

    Bientôt une exposition de boutis !!!

     

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  • "Lors des dernières Rencontres autour du Boutis j'ai acheté le kit "Les rosettes dans le boutis",

    voilà j'ai essayé et le papillon peut s'envoler"

    Si dans un premier temps, je ne savais pas trop ce qu'il allait devenir

    Le lien : les rosettes dans le boutis de Thérèse

    après réflexion, le voilà sur une poubelle à fils

    Le lien : les rosettes dans le boutis de Thérèse

     Très utile finalement plus de fil au sol!

    Le lien : les rosettes dans le boutis de Thérèse

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  •  

    Concombre     

     Cette mousse se sert à l'apéritif (recette pour 8 personnes)

     

    150 g de saumon fumé

    1 C à S de raifort

    1 C à C de zeste de citron

    1 C à C de jus de citron

    85 ml de crème épaisse

    3 concombres

    Poivre du moulin

     

    Dans un mixeur (broyeur) mettre le saumon, le raifort, le zeste et le jus de citron.

     

    Ajouter peu à peu la crème jusqu’à l’obtention d’une tartinade.

     

    Éplucher les concombres et les découper en rondelles.

     

    Façonner des rosaces à l'aide d'une douille sur chaque tranche de concombre.

     


     

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  •  

    Cette coiffe provençale a subi une transformation afin de remonter l'arrière qui retombait un peu trop, faute de moins de cheveux étant donné qu'ils sont courts.

     

    Le lien : La coiffe de Michelle

     

    Elle est tout aussi belle.

    Cette transformation a nécessité beaucoup de travail pour tout démonter et remonter à l'identique !!

    Mais quand la passion est là, on ne compte pas les heures .....

     

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