Boutis, Bidouillage, Broderie, Cartonnage, Crochet, Couture, Costumes, Cuisine, Dentelle, Piqué Marseillais, Expositions, Provençal.....
Chascun en Prouvenço a sa tiero de trege dessèr e tóuti varìon sensiblamen d’uno vilo à un’autro (mai tambèn d’uno famiho à un’autro !)
Entre li trege dessèr mant un soun inmancable :
- la poumpo
- li pachichoi (li quatre fru se) : li nose o lis avelano, li figo seco, lis amelo, li passariho
- li nougat : lou negre e lou blanc (mai mèfi ! se vous parlo de nougat de capouchin vo nougat de paure, sachès qu’es uno figo seco fourra d’un nousihoun)
- Li dàti
Se coumpleto emé :
- de fru fres : rin, poumo, pero, verdau (melon d’ivèr), arange, kàki, mióugrano…
- de pasto de coudoun o autro pasto de fru
- de counfituro
- de pastissarié, de bescue
A-z-Ais li s’apoundo li calissoun, à-z-At li fru counfit…
L’essenciau es d’agué li trege !
Les treize desserts
Chacun en Provence a sa liste des treize desserts et toutes varient sensiblement d’une ville à une autre (mais aussi d’une famille à une autre !)
Parmi les treize desserts plusieurs sont inévitables :
- la pompe
- les quatre fruits secs : les noix ou les noisettes, les figues sèches, les amandes, les raisins secs
- les nougats : le noir et le blanc (mais attention ! si on vous parle de nougat de capucin ou nougat du pauvre, sachez que c’est une figue sèche fourrée d’un cerneau de noix)
- les dattes
On complète avec :
- des fruits frais : raisins, pommes, poires, melon d’hiver, oranges, kakis, grenades…
- de la pâte de coing ou autre pâte de fruit
- des confitures
- des pâtisseries, des biscuits
A Aix en Provence on ajoute les calissons, à Apt les fruits confits…
L’essentiel est d’avoir les treize !