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Les dernières boîtes avec tiroirs qui ont donné du fil à retordre à certaines...
Qui se reconnaitront !!
Et maintenant une autre forme qui est apparemment beaucoup plus simple !!!
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Nous avons organisé au mois de novembre deux sessions de stage pour apprendre à créer son propre boutis d'après des journaux de broderies des années 1900
Boutis qui sera une "œuvre" originale et personnelle, qui ne se verra pas ailleurs, mais quelle satisfaction d'avoir réalisé quelque chose de vraiment personnel !!!
Bien sur cela représente plus de travail puisqu'il faut bien penser
au préalable à la finalité de son boutis
à la mise en valeur du sujet,
bien calculer les bordures : frises ou pas
comment sera la finition
ne pas faire un motif trop petit ou trop grand
Ne pas trop charger en dessins compliqués,
Ces deux sessions ont remporté un vif succès
beaucoup de questions posées, beaucoup d'intérêt
Maintenant nous attendons les photos des ouvrages terminés
Mais là il faudra un petit de temps....
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La petite gloriette brodée pour agrémenter un coussin par exemple
ci-après quelques ouvrages
bien avancés
avec des couleurs différentes
en fonction des sensibilités de chacune
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Les sacs de l'atelier couture d'après un modèle issu du livre :
prêté par notre amie Danielle P.
Voici quelques réalisations
D'autres sont encore à venir
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La Pastorale Bellot d'Ollioules est de retour à La Garde le 29 janvier à la salle Gérard Philipe !
Traduction simultanée Provençal / Français.
Début du spectacle à 15h
Venez nombreux !!!
Spectacle gratuit
Bèn amistousamen
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Ingrédients
4 Escalopes de dinde
3 cuillères de farine
15 gr de beurre
5 feuilles de verveine fraîche.
1 Citron
sel poivre
Sur la planche à découper, taper l'escalope pour la rendre plus égale, si ce n'est pas régulier inciser pour bien aplatir la viande.
Saler et poivrer.
Dans une assiette creuse, mettre 2 cuillerées à soupe de farine.
Fariner régulièrement les escalopes les escalopes.
Dans une sauteuse, chauffer 2 cuillerées à soupe d’huile,
Ciseler très finement les feuilles de verveine, faire revenir 1 min 30.
Ajouter le beurre et dessus poser les escalopes.
Faire dorer quelques minutes de chaque côté.
Ajouter la moitié d’un jus de citron et poursuivre la cuisson à feu vif de chaque côté.
Servir avec du riz et de la salade avec des croûtons aillés.
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Le bidouillage de ce mardi a permis de réaliser de jolies barrettes
qui ressemblent à de jolis papillons
très colorés
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De bien jolies broderies très colorées
Sont en train de voir le joir
Pour agrémenter un sac,
être encadrées pour un très bel effet
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Samedi dernier nous nous sommes retrouvées pour apprendre le montage du fermoir
du réticule qui sera exposé lors de nos Rencontres autour du Boutis du mois de mars prochain
après avoir bien travaillé le matin, nous voilà devant nos "biasses"
pour reprendre des forces pour l'après-midi....
Et voici le résultats : les premiers réticules terminés ou presque pour certains...
Il y a ceux de Anna, Carmela, Christine, Fiorella, Suzanne, Thérèse.
D'autres vont suivre Babette, Danielle, Fabienne, Michelle, .....
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Ditado en païs d’Oc
Lou dissate 28 de janvié 2023
Se debanara à parti de 2 ouro de tantost à Carnoulo
La ditado es un moumen de rescontre e de partage dubert en tóuti.
Dictée en pays d’Oc
Le samedi 28 janvier 2023
Elle se déroulera à partir de 14h00 à Carnoules
La dictée est un moment de rencontre et de partage ouvert à tous.
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Un beau petit boutis réalisé par Fiorella
Il ne reste plus qu'à l'encadrer
Nous le verrons certainement lors de nos prochaines rencontres
au mois de mars
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1 kg de paleron ou rond de veine
faire couper par le boucher pour avoir de fines lamelles
1 gros bouquet de persil
1 Tête d'ail
1 gros oignon
Sel poivre
1 verre de câpres ( 125g)
5 à 6 cornichons
6 à 8 anchois
3 c à s d'huile
Éplucher les légumes
Mixer l'oignon, les câpres, les cornichons
Mettre 2 Cuillères d'huile dans le poêlon.
Disposer 5 tranches de viande au fond
Sur la viande mettre des petits tas de ce hachis
Sel poivre
Poser des petits bouts d'anchois.
Recommencer par couches successives jusqu'à épuisement des ingrédients.
Mettre au frigidaire toute la nuit.
Le lendemain, faire cuire à feu vif (cela rend beaucoup d'eau)
Faire roussir en tournant doucement.
Recouvrir d'eau bouillante (environ ½litres)
Suivre la cuisson pour éviter que la viande soit trop fondue.
Ce plat peut être servi avec des pommes de terre bouillies, des pâtes ou du riz.
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Bravei gèns, adièu,
Counvidan Andrièu Abbe à Courrèns, lou 28 de genié per une counferènci illustrado sus l'amountagnage.
Poudès nous ajuda per qu'aquesto vihado sièche uno capitado. Troubarès en pèço-jouncho un plancardo a faire vira a vostro entour.
Granmercé.
Cercle de l'Avenir - 33 rue du Cros - 83570 Correns
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Voici le chemin de table de Noël en piqué marseillais réalisé par Michelle
Agrémenté de jolies fleurs de poinsettia ou "fleur de Noël"
Cette jolie fleur principalement de couleur rouge nous vient à l'origine d'Amérique Centrale
et du Sud du Mexique où elle est appelée "la flore de la noche buena"
ce qui signifie "la fleur de la nuit sainte".
Mais aujourd'hui nous pouvons en trouver de plusieurs couleurs en :
blanc, jaune, rose, orange, bleu et même noir.
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Pour samedi, j'ai oublié de préciser qu'il faudra vous munir de coton perlé numéro 8 de la couleur de l'ouvrage, avec l'aiguille appropriée et bien sûr la biasse à partager pour le midi !!!
N'oubliez pas c'est samedi 14 janvier 2023 que nous avons notre petit stage
pour apprendre le montage du réticule, sujet de nos prochaines rencontres
Merci de préciser votre présence par retour de mail
leiroucasdoubarri83390@gmail.com
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N'oubliez pas c'est samedi 14 janvier 2023 que nous avons notre petit stage
pour apprendre le montage du réticule, sujet de nos prochaines rencontres
Merci de préciser votre présence par retour de mail
leiroucasdoubarri83390@gmail.com
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Le gâteau des rois est un gâteau, plus ou moins dense ou brioché, usuellement élaboré et consommé en France et dans la péninsule Ibérique à l'occasion de l'Épiphanie, fête chrétienne qui célèbre la visite des rois mages à l'Enfant Jésus, célébrée le 6 janvier.
De forme torique, parfumé à l'eau de fleur d'oranger, il est recouvert de sucre et parfois de fruits confits.
En France, ce gâteau est également appelé couronne des rois ou couroùno des reis mais aussi royaume ou reiaume à Montpellier, Limoux, gâteau de Limoux ou coque des Rois dans la région toulousaine et en Ariège, couronne bordelaise ou brioche bordelaise à Bordeaux.
Concernant la part des gâteaux des rois issus du commerce, ceux-ci le sont principalement en Occitanie alors qu'une galette feuilletée le remplace (appelée « galette des rois », « parisienne » ou « gâteau des rois ») dans les deux tiers nord du territoire et la Belgique.
Origine
Gâteau des rois. Roscón de Reyes typique (Castellón, Espagne).
Gâteau des rois du commerce.
Le gâteau des rois est consommé principalement en Provence, en Aquitaine historique (jusqu'au Poitou) et Languedoc historique jusqu'au Velay (il s'écrit en occitan reialme ou reiaume, couroùno des reis ou tourtèl des reis, en catalan tortell de reis, en espagnol roscón de reyes, au Portugal bolo rei).
Une tradition similaire, peut-être importée de France, existe à La Nouvelle-Orléans : c'est le king cake.
Histoire
Le gâteau des rois, par Jean-Baptiste Greuze, 1774.
L'origine du gâteau des rois semble être liée aux saturnales romaines. Ces célébrations étaient dévolues au dieu Saturne, afin de fêter l'augmentation des jours après le solstice d'hiver. Lors de ces cérémonies, un gâteau était fait rond fourré de figues, de dattes et de miel, divisé en parts égales entre les maîtres et les esclaves. À l'intérieur de celui-ci, était introduite une fève ; celui qui avait la chance de la trouver dans la part qu'il recevait était nommé roi.
À Paris, dès le xvie siècle, le gâteau des rois a été l'objet d'une guerre féroce entre les boulangers et les pâtissiers : ces deux corporations voulaient chacune obtenir le monopole de vendre ce gâteau symbolique : les pâtissiers gagnèrent et François Ier leur accorda le monopole de la vente des gâteaux des rois. Cet arrêt fut confirmé plusieurs fois par le parlement jusqu'au xviiie siècle. Mais les boulangers ne s'avouèrent pas vaincus : ils offrirent à leurs clients pour l'Épiphanie des galettes, d'où le nom moderne du gâteau des rois.
Caricature : « Le gâteau des rois, tiré au Congrès de Vienne en 1815 »
Mais, cette belle tradition a eu aussi ses détracteurs : ainsi dès l'Ancien Régime, les chanoines de Saint-Germain-des-Prés s'élevaient contre cette tradition, cause de superstitions et d'ivrognerie : nous verrons qu'ils n'avaient pas totalement tort car la fête des rois est peut-être la survivance des saturnales romaines. Sous la Révolution, la fête des rois devint la fête des Sans-culottes ou fête du bon voisinage. Certains révolutionnaires s'insurgèrent sur le fait que dans la République, on pouvait encore fêter les ombres des tyrans : après avoir songé à interdire la fête, et à poursuivre les pâtissiers délinquants et ceux qui participeraient à de telles orgies, on se décida avec raison à habiller la fête des rois en fête du bon voisinage, pour ne pas mécontenter les boulangers et les pâtissiers qui jouaient un rôle majeur dans l'approvisionnement et l'alimentation de l'époque.
La tradition du gâteau des rois s'est maintenue jusqu'à nos jours, mais désormais les boulangers les vendent et ne les donnent plus et, à Paris au moins, les galettes se sont hybridées avec le pithiviers pour donner des galettes fourrées à la frangipane. Le dernier acte historique concernant la galette des rois remonte à 1975, date à laquelle la galette des rois, certes géante (1 mètre de diamètre) entra à L'Élysée, offerte par les boulangers et pâtissiers de France.
Recette de base
La pâte est préparée avec de la farine de blé, de l’eau et du levain, des œufs, du beurre, du sucre, du sel et de l'eau de fleur d'oranger qui sont mélangés et travaillés jusqu’à l’obtention d’une pâte élastique. Après avoir laissé lever la pâte, elle est modelée en forme de couronne, couverte avec le blanc d’œuf et décorée avec les fruits confits. Avant la cuisson, une ou plusieurs fèves en forme de petit Jésus en porcelaine sont cachées dans la pâte.
Rituel
Un type de sujet du gâteau des rois.
Cette tradition est parvenue en France par l'intermédiaire de la papauté d'Avignon où le premier tirage des rois eut lieu à la fin du xive siècle au couvent des dominicains.
Ce gâteau brioché rond et parfumé à l'essence de fleur d’oranger est décoré de fruits confits qui sont censés représenter les joyaux de la couronne. Terre de soleil et de vergers, la Provence est tout naturellement devenue la terre de prédilection des fruits confits, et Apt sa capitale. En 1348, le Pape Clément VI donna même la charge « d’écuyer en confiserie » au confiseur aptésien Auzias Maseta5.
De nos jours, c'est le plus jeune de l'assemblée qui ferme les yeux ou se place sous la table et on lui désigne chaque part de gâteau afin qu'il l'attribue à un convive.
Il y a deux fèves dans le gâteau :
- le sujet, en porcelaine, qui représente traditionnellement un personnage de la crèche ;
- la fève.
Celui qui tire la fève, est le roi. Le sujet de porcelaine est pour la reine; dans certains cas, celui qui tire la fève doit fournir le prochain gâteau.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A2teau_des_rois
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Êtes-vous plutôt galette ou gâteau des Rois ? Le 6 janvier, en Provence, point de galette des Rois à la frangipane, c’est un gâteau des Rois (ou couronne) que l’on partage. Et, dans les faits, il se déguste tout le mois !
Pourquoi mangeons-nous la galette ou le gâteau des Rois ce jour-là ?
La tradition du gâteau ou de la galette des Rois est une coutume païenne dont l'origine remonte à l'époque des Romains.
Les Romains fêtaient en effet les Saturnales, fêtes du solstice d'hiver (vers la vingtaine du mois de décembre), pour célébrer le dieu Saturne. Lors de ces cérémonies, un gâteau rond fourré de figues, de dattes et de miel était confectionné et divisé en parts égales entre les maîtres et les esclaves. À l’intérieur du gâteau se trouvait une fève et celui qui tombait dessus était nommé roi pour la journée.
C’est au XIVe siècle que l’Église française s’est appropriée la tradition. Désormais, la galette des Rois est associée à l’Épiphanie.
Le gâteau des Rois, quèsaco ?
C'est une brioche à la fleur d’oranger, recouverte de sucre et de fruits confits, de forme ronde avec un trou au milieu.
La forme ronde de la brioche symboliserait le chemin des Rois mages et les fruits confits les pierres précieuses de leurs couronnes.
On y glisse à l'intérieur une fève et un sujet en porcelaine.
La recette :
Faire une pâte à brioche avec 500 g de levain de boulangerie, 2 kg de fleur de farine, 500 g de sucre, 500 g de beurre, 7 œufs entiers, ou 10 jaunes seuls ;
Pétrir la pâte la veille et laisser reposer, ajouter des fruits confits hachés mais pas trop menu, dresser en forme de couronne, saupoudrer de sucre en petits grains, décorer avec des fruits glacés ;
Il faut environ 10 minutes pour que le gâteau soit cuit (ou plus si le four n'est pas assez chaud).
Pourquoi une fève ?
La fève dans la galette des Rois remonte au temps des Romains. Symbole de fécondité important chez eux, la fève était très courante lors des célébrations du solstice d’hiver… Et puis, tout le monde en avait chez soi !
En Provence, en plus de la fève traditionnelle, on y place aussi une figurine en céramique qui – couleur locale oblige - est un santon.
Pour la petite histoire, l’Élysée accueille chaque année une galette sans fève car tirer les Rois ne s’accorde pas avec l’idée de la République.
Il existe aujourd’hui une multitude de fèves fantaisie qui font le bonheur de collectionneurs. La collection de ces petits objets se nomme la "fabophilie".
Le protocole
Une fois sur la table, reste à partager le gâteau en autant de parts qu'il y a de convives. Néanmoins, la tradition veut que l’on ajoute au découpage une part supplémentaire. Cette portion, appelée "part du bon Dieu" ou "part de la Vierge" était donnée au premier pauvre qui passait.
Là encore, quelques règles à respecter.
Il est de mise que le plus jeune des convives se cache sous la table pour attribuer chaque part. Impossible donc, normalement, d’obtenir la plus grosse part ou celle avec la fève.
Celui qui tire la fève est le roi, le sujet est pour la reine.
Et pour que ce tirage des Rois dure plus longtemps, celui qui a la fève paie le prochain gâteau.
Il fallait y penser !
Publié le 26 décembre 2022 - Source :
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